Maxime Berthon (Koh Lanta) est déjà en vitrine

Maxime Berthon a déjà un tee-shirt à son effigie à Poitiers.

On ne sait pas si Maxime Berthon, le candidat poitevin de l’édition 2019 de Koh Lanta ira très loin dans l’émission de TF1, mais il s’est déjà assuré une place de choix dans la vitrine de la boutique Concept Dream Print, rue Carnot à Poitiers, où on a repéré un tee-shirt à son effigie.

« C’est la maman du candidat qui est venue faire imprimer des tee-shirts, explique le gérant de cette boutique d’impression textile. Puis plusieurs membres de sa famille ont fait la même chose. J’ai demandé si je pouvais moi-même l’afficher dans la vitrine. »

S’il a de moins en moins de soutien parmi ses congénères du jeu de téléréalité, Maxime Berthon sait donc qu’il peut compter sur celui de sa famille, de ses élèves et du public poitevin.

Assis debout couché !

Monsieur Écho a vu un «assis debout» couché, à Poitiers. Non, il ne s’agit pas d’ordres pour faire obéir son chien, mais d’un mobilier urbain qui permet normalement de se reposer, en étant moitié assis moitié debout (la Ville de Poitiers en a installé dans les rues en pente). Mais sur celui-ci, plus question de se reposer, puisqu’il a été démonté pour cause de chantier au niveau du carrefour entre les rues de la Marne, Boncenne et des Carmélites. On risque juste de se retrouver allongé si on se prend les pieds dedans.

Couché, assis debout !

Couché, assis debout !

Mariages pluvieux…

Une météo à ne pas mettre des mariés dehors…

On connaît le dicton qui veut qu’un mariage pluvieux soit un mariage heureux. Alors on souhaite tout le bonheur du monde aux six couples qui ont dit un grand « oui » devant les adjoints du maire de Poitiers, ce samedi 12 mai 2018. Ils ont été gâtés, il a plu du matin à l’après-midi, sans discontinuer.

Il fallait voir les invités, courir du parking vers la mairie en tentant d’éviter les gouttes. Robes et talons pour les dames, costards et nœuds papillons pour les messieurs… et parapluies pour tout le monde !

Pas de photo à la sortie de l’hôtel de ville, ou alors c’était douche comprise, sous la gouttière du balcon… Pas de lancer de riz sur les mariés non plus, au risque de transformer la place en gigantesque risotto.

Ces candidats au mariage auraient dû consulter le calendrier des jardiniers avant de fixer la date de leur union. Ce samedi 12, on était au beau milieu des saints de glace, ces derniers frimas qu’on doit passer avant de planter les tomates.

Le Rubik’s cube est parmi nous

Monsieur Écho s'est fait doubler par un Rubik's Cube à quatre roues, hier à Poitiers.

Monsieur Écho s’est fait doubler par un Rubik’s cube à quatre roues, à Poitiers.

En ce samedi matin, Monsieur Écho s’en allait à un reportage inédit pour lui : une compétition de « speedcubing », c’est-à-dire de résolution rapide du célèbre casse-tête Rubik’s cube (et de ses nombreuses variantes). Le premier Pict’Open, compétition officielle reconnue par l’association mondiale World Cube Association, se déroule en effet à Poitiers tout ce week-end, sur le campus, à la Cité universitaire Descartes, à l’initiative de deux collégiens. (voir aussi la vidéo de Centre Presse)

Mais alors qu’il roulait sur la rocade pour s’y rendre, Monsieur Écho a cru avoir une hallucination en voyant une drôle de voiture sur la file d’à côté au feu rouge. Des carrés jaunes, des carrés rouges, des carrés verts, des carrés bleus… super bien alignés : mais bien sûr, un Rubik’s cube géant !!! D’ailleurs, à l’arrière de cette voiture figure le nom du modèle : Nissan Cube (Monsieur Écho précise que la peinture n’est a priori pas de série !)

Monsieur Écho aurait espéré retrouver ce véhicule sur le parking de la salle de compétition, mais non, le conducteur ou la conductrice ne s’y rendait pas. C’était juste un hasard de se faire doubler par un Rubik’s cube en allant à une compétition de Rubik’s cube…

Un parfum de concorde à l’aéroport de Poitiers

L’affiche de 1997 qui annonçait la présence du Concorde à Poitiers (copie d’écran du blog d’un passionné de Concorde).

Il y aura des sous pour le budget de l’aéroport de Poitiers-Biard. Les différents partenaires du syndicat mixte qui gère cet équipement ont trouvé un accord en début de semaine. Accord que Bruno Belin, le président du conseil départemental, a salué dans un tweet ou il remercie tout le monde, et qu’il a accompagné d’une photo de l’aéroport.

On ne sait pas où il a trouvé cette image, mais ce dont on est certain, c’est qu’elle date d’octobre 1997. En effet, c’est la seule fois où un Concorde s’est posé sur le tarmac poitevin, pour des baptêmes de l’air organisés pendant tout un week-end, dont on peut retrouver les détails sur le blog d’un passionné de cet avion.

Depuis cette époque, après un tragique accident en 2000, le Concorde a définitivement abandonné les vols commerciaux en juin 2003 et a pris la direction des musées. Pour évoquer un avenir radieux à l’aéroport de Poitiers, Bruno Belin aurait pu choisir une photo plus récente, non ? Ou alors c’est une volonté de souligner la concorde qui règne entre les membres du syndicat mixte…

Du penseur de Rodin au penseur de Romagne

Yaoundé pense-t-il au Penseur de Rodin ?

Yaoundé pense-t-il au Penseur de Rodin ?

Quel est le point commun entre la Vallée des Singes à Romagne et le musée Sainte-Croix à Poitiers ? Monsieur Écho a trouvé une réponse samedi, en allant faire un reportage pour la réouverture du parc animalier, lorsque Yaoundé, le gorille vedette de la Vallée, a pris une pose étonnante… La tête posée sur la main, Yaoundé ressemblait en effet beaucoup à la sculpture de Rodin intitulée Le Penseur ! Or le musée de Poitiers accueille actuellement une exposition consacrée au Centenaire Rodin : Le Penseur n’y est pas présenté, mais les visiteurs peuvent en trouver une version miniature en gomme à la boutique du musée.

Le chien de Jacky n’a pas aimé notre article

Le chien a aboyé à la lecture de cet article.

Suite à l’article « Ils aiment les chiens… bien cuits », un lecteur nous a envoyé un courrier  pour nous dire que son chien n’avait pas aimé le sujet. C’est ironique et délicieux à la fois. A lire.

Bonjour, 
comme tous les matins je lis CP en prenant mon petit déjeuner, accompagné de mon chien. Quand j’ai vu l’article concernant les chiens que les coréens mangent (page 42) j’ai rapidement tourné la page, ce qui a surpris mon chien qui a insisté pour voir ce qui provoquait une telle précipitation. Malgré mon insistance et lui faisant comprendre que comme tous les matins il n’avait qu’à attendre que je termine ma lecture, j’ai dû lui passer mon quotidien. 
Ce qui devait arriver est arrivé. M’accusant de censurer ses lectures, devant la teneur de l’article (j’ai eu beau lui dire qu’il s’agissait sans doute d’une fake news destinée à disqualifier la Corée du Sud, les Russes pourraient bien être dans le coup…), mon chien s’est mis à aboyer avec une rare violence, m’intimant de me désabonner de ce journal qui relaie les pires cruautés et d’envoyer un mail à l’Elysée afin que l’équipe de France boycotte les jeux dans l’instant et prenne le premier avion pour retrouver notre beau pays où les chiens ne sont que des compagnons de l’homme et non des bêtes destinées à l’alimentation.
Il a également évoqué de saisir le Tribunal de La Haye, la cour européenne des droits de l’homme et tout ce qui sera en mon pouvoir pour faire cesser cette ignominie.
Cordialement 
M. Jacky Engeammes. Poitiers.  

Johnny Hallyday et France Gall à Blossac le 32 juillet 1970

Drôle d’affiche pour faux concert.

Que les fans inconditionnels de Johnny Hallyday et de France Gall nous excusent, mais cette (fausse) affiche, nous a fait marrer. Aperçue dans plusieurs rues de Poitiers, elle annonce le concert d’adieu de Johnny Hallyday et de France Gall au parc de Blossac le… 32 juillet 1970. « Du jamais vu à Poitiers que vous ne verrez jamais », précise un commentaire. On confirme. On ne le verra jamais.
On a aussi vu d’autres affiches décalées comme ce concert de Joséphine Baker et son orchestre annoncé le 23 octobre 1935 et organisé par « Les usines du Confort 2000 », ou encore ce « Rassemblement contre les Don Juan, réservé aux filles » au parc de Blossac.

 

My name is Bond, Charentaise Bond

Les commerçants de Carnot Chausseur jouent les James Bond et Moneypenny.

Les commerçants de Carnot Chausseur jouent les James Bond et Moneypenny.

Monsieur Écho aime bien cette pub que le magasin Carnot Chausseur, à côté du cinéma Castille en centre-ville de Poitiers, a installé devant sa vitrine depuis quelques semaines. Les commerçants s’y sont mis eux-mêmes en scène en parodiant l’univers de James Bond. Affiche, pose, slogan : « La charentaise ne meurt jamais »… tout y est, sauf le costume, remplacé par un pyjama, et les armes et gadgets, remplacés par les charentaises.

Monsieur Écho avoue n’être pas suffisamment spécialiste de la série des James Bond et fait appel à ses lecteurs : Q aurait-il déjà eu l’idée de transformer une charentaise en gadget de haute technologie ???

 

La première crèche révolutionnaire

M.Écho avoue qu’il est resté bouche bée devant la vitrine de la librairie La Procure, spécialisée dans la religion, à Poitiers. A côté de représentations traditionnelles et de santons, on y trouve des crèches censées représenter des pays, où le bébé Jésus est entouré de Joseph et Marie en tenues locales et d’animaux pour le moins exotiques : des pandas en Chine, un tigre et un éléphant en Inde, une baleine en Islande, voire de symboles comme la Statue de la Liberté aux États-Unis ou un bus anglais à impériale à Londres.

Outre le fait que certains de ces pays ne sont pas du tout de tradition chrétienne, M.Écho ne voit pas l’aspect religieux de ces représentations…

La palme de l’invraisemblable revient à la crèche «de France», qui montre l’enfant dans une mangeoire bleu-blanc-rouge avec à côté de lui un coq, une bouteille de champagne (!!!), et Marie coiffée d’un bonnet phrygien bien révolutionnaire. M.Écho croit pourtant avoir appris que Révolution française et religion ne faisaient pas bon ménage…

Des crèches très éloignées de la tradition chrétienne.

Des crèches très éloignées de la tradition chrétienne.