A la rédac’, la caravane passe et le saucisson trépasse

cochonou

Le selfie de l’année !

Aujourd’hui, nous vous avons fait vivre en direct (pour le revivre, cliquez ici) l’étape du Tour de France Saumur-Limoges qui traversait la Vienne (Des Trois-Moutiers à Lathus en passant par Loudun, Châtellerault, Saint-Savin et  Montmorillon). L’un de nos reporters a eu la chance (si, si, c’est une chance ! ) de suivre la caravane publicitaire à bord de la 2 CV Cochonou… Et comme c’est un type super sympa, il a ramené pour ses collègues du saucisson et des merveilleux bobs de la célèbre marque charcutière. On n’est pas beaux, sur la photo ?

 

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Parlez-vous le « Nuit Debout » ?

Quelques signes à connaître avant d'entrer dans le débat.

Quelques signes à connaître avant d’entrer dans le débat.

Depuis samedi, le mouvement « Nuit Debout » a fait des émules à Poitiers. Chaque jour, à partir de 18h, le débat s’installe sur la place Leclerc. Pour que ça soit plus fluide, des militants ont publié sur leur tumblr un mode d’emploi qui emprunte un peu à la langue des signes, dont on vous parle tous les mardis, et beaucoup aux us et coutumes des assemblées générales. La formule avait déjà été testée, en 2006, dans les AG étudiantes contre le contrat première embauche. Si vous n’êtes pas un révolutionnaire chevronné, ni un habitué de ce type d’agora, on vous conseille de vous entraîner à l’aide du schéma ci-contre.

Tout le journal avec Brian

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Tout le monde s’est arrêté de travailler.

A 19h et des brouettes, on a tous regardé ses pirouettes. Ce soir, Brian Joubert qui patinait en direct de Sotchi a mobilisé toute la rédaction (ou presque). Agglutinés devant l’ordinateur d’un collègue, les journalistes ont regardé, vibré (ou presque) et applaudi la prestation du patineur poitevin… Il y avait moins de monde devant les qualifications de la luge biplace.

Ma terrasse au Canada

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Superbes créations des étudiants de l’Ecole d’Arts Appliqués de Poitiers.

Des drôles de bêtes sont arrivées près de chez nous. Deux caribous géants tout blanc. L’un pêche tranquillement dans un trou creusé dans la glace, l’autre fait des raquettes sur la neige. Cette création est à voir sur la terrasse de l’Ecole d’Arts Appliqués située juste derrière les locaux du journal, rue Paul-Bert. Chaque trimestre, les étudiants doivent monter un projet. Une sorte de mini-concours en interne. Et pour le mois de décembre, le thème choisi était  : « Ma terrasse au Canada ». Pour la petite histoire, certains gamins de l’école de la Providence, qui ont vue sur cette terrasse, n’ont pas loupé les deux caribous géants, forcément convaincus qu’il s’agissait des rennes du Père Noël. La maîtresse a cédé à la pression et a organisé une visite le jeudi 19 décembre.

Incendie au journal

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O’fum’

Gros nuage de fumée dans la cour de la rédaction ce matin. Génial ! Enfin un fait divers à notre porte… Non, en réalité, il ne s’agit que d’un exercice incendie à destination du personnel. Plus de peur que de mal. En plus, ça peut servir à tout le monde.

Premières pierres énervantes

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Jolie pyramide pour cette première pierre bien blanche ce matin à la résidence « La clef des champs » dans le quartier de Saint-Eloi.

S’il y a bien des reportages qui n’ont aucun intérêt, ce sont bien les poses de premières pierres. Outre le fait que le journaliste est convaincu qu’il ne décrochera pas le prix Pulitzer sur ce coup-là, il se désole pratiquement à chaque fois de l’entrain que mettent les élus cravatés à se jeter sur la truelle pour déposer un petit pâté de ciment entre deux parpaings devant des photographes blasés. Mais au final, c’est presque drôle.

1. C’est souvent le moment que l’on découvre ceux qui sont doués pour le bricolage et ceux qui ne le sont pas. En même temps faire de la maçonnerie avec un costume, c’est rarement évident.

2. A chaque fois (on vous jure que c’est vrai), il y a toujours un élu pour en chambrer un autre sur la façon de poser le parpaing. « Tu l’as mis à l’envers ! ». Petit effet comique garanti dans l’assistance. On soupçonne même certains élus de faire sciemment l’erreur pour provoquer l’hilarité générale. Pour ceux-là, il faut bien l’avouer, une belle et grande carrière politique s’ouvre devant eux.

3. A force de couvrir des reportages sur les poses de première pierre, on a aussi constaté que ladite première pierre n’est jamais posée où se trouve réellement le chantier. Il s’agit donc d’une fausse première pierre. Une pierre symbolique diront certains. On a retrouvé dans nos archives, la photo de la cérémonie pour la pose de la première pierre de l’îlot des Cordeliers. On y voit Jacques Santrot, le maire de l’époque jouer de la truelle au milieu de la rue Henri-Oudin alors que les grues sont en action juste derrière sur le vrai chantier. Mais il y a plus drôle. Pour l’inauguration du village loisirs de Fontaine le Comte, on avait installé un faux mur sous un tivoli au milieu du parking. On a failli éclater de rire.

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Première pierre de l’îlot des Cordeliers… au milieu de la rue. Heureusement, il n’y a plus rien aujourd’hui.

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Pose de la première pierre au Village-Loisirs de Fontaine le comte. Un tivoli pour monter un mur sans se mouiller. Les vrais maçons en rêvent tous les jours.

Qui a le plus gros… légume ?

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M. Echo lance le concours du plus gros légume. (Photo dr)

M. Echo lance le concours du plus gros légume. (Photo dr)

En cette belle saison (pourvu que ça dure), M. Echo lance un concours à destination des mains vertes poitevines. Vous avez les plus beaux melons, votre courgette pourrait nourrir un régiment, votre grand-père est fier de sa grosse pomme de terre,… surtout immortalisez l’instant, le jardinier et son oeuvre entre les mains, et envoyez la réussite de dame nature à M. Echo (poitiers.quartiers@centre-presse.fr) qui se fera un plaisir de le montrer à tous ses amis virtuels. Le concours du plus beau légume 2013 est lancé.

Le chant du coq

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Qui veut un petit coq ?

Qui veut un petit coq ?

Monsieur Echo aime beaucoup le chant du coq au petit matin. Dans le quartier de la cathédrale, ses voisins immédiats apprécient moins. Les joies de la vie en communauté dans un (petit) immeuble d’habitat collectif ! Dommage car un arrêté municipal autorise les heureux propriétaires de pondeuses à avoir jusqu’à dix poules et un coq à Poitiers…

Avant que les premiers « cocoricos » ne retentissent, M. Echo se résoud donc à donner les petits coqs couvés et élevés avec un bel instinct par l’une de ses poulettes pour ne pas avoir à les mettre au vin… Un petit « marans coucou » originaire de Charente-Maritime (à droite sur la photo) et un mignon « sussex herminé » dont les ascendants viennent d’Angleterre (à gauche en train de picorer du taboulé).
Le premier ami de M. Echo qui se manifestera pour offrir un compagnon à ses poules aura le bonheur d’avoir des poussins au printemps prochain !

M. Echo « embedded » avec les soldats poitevins

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M. Echo sur son lit Picot

Imaginez une chambre pleine de toiles d’araignée, avec des moustiques, un voisin de chambrée qui ronfle à en faire tomber la vieille peinture de la pièce, le ballon d’eau chaude qui goutte, un lit (de camp) qui grince au moindre mouvement, voici les conditions dans lesquelles M. Echo vient de passer sa nuit. Une situation « extrême » pour suivre le Régiment d’infanterie chars de marine en préparation au camp militaire de Montmorillon. (A lire dans une prochaine édition de Centre Presse). Bon, M. Echo a tout de même pu dormir quelques heures avant un lever aux aurores.

En tout cas, ces nuits difficiles n’empêchent pas les militaires poitevins d’être sympathiques avec M. Echo allant même jusqu’à lui fournir une ration de survie. « Embedded » jusqu’au bout.

La tenue anti inondation

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Mais si ! C’est joli les bottes !

Ce matin, notre jeune collègue, avec sa robe légère et ses petites chaussures ouvertes,  avait une mission : aller faire un reportage à Savigny-L’Evescault pour savoir comment les gens vivaient l’après-inondation. « Tu ne vas pas y aller dans cette tenue !  » a lancé un autre collègue craignant que l’eau et la boue soient encore présentes dans les rues de ce petit village.
Finalement, nous avons trouvé sous un bureau une paire de bottes pour équiper notre jeune collègue. Bon d’accord, ça ne va pas trop avec la petite robe mais au moins elle aura les pieds au sec…. Une heure plus tard, notre jeune collègue est revenue du reportage les bottes à la main. L’eau était partie et le soleil (presque) revenu.